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    Je suis là devant cette belle plage qui me rappelle tant de souvenirs. Un verre de vodka à la main j’attends patiemment mon heure, avec son alcool préféré entre mes doigts je compte les secondes qui vont me séparer de lui pour l’éternité. Je me suis vêtue des mêmes vêtements qui quelques temps auparavant avaient été témoins de mon enchantement. Un jean qu’avant je n’aimais pas, un tee shirt qui m’était tombé sous la main ce jour là, mais qui depuis ce moment étaient devenus mes habits préférés. Je m’en souviens, cela avait débuté un peu avant les vacances de l’été. Je l’avais croisé dans la rue en rentrant chez moi. Tous les jours il y avait un regard entre lui et moi mais rien de plus, je n’avais pas le courage d’aller l’aborder. J’avais besoin de ce petit contact visuel avec lui, même s’il durait deux secondes, cela me faisait plaisir de le voir en train de me lancer un regard à la dérobée. Un jour il est venu me parler et au fil du temps nous nous sommes rapprochés. En sa présence, je ne me posais pas de question, j’étais tellement bien, je me sentais heureuse. Nous nous voyions régulièrement : deux à trois fois par semaine il me ramenait chez moi. Un petit temps au cours duquel nous rigolions, où nous retrouvions une complicité d’enfant de cinq ans. Nous nous conseillions et soutenions mutuellement. Au fil des semaines je me suis rendue compte que je commençais à l’aimer, j’étais en train de tomber amoureuse de lui. Nous nous étions échangés nos numéros et nous nous parlions un petit peu tous les soirs. Je m’étais aperçu que s’il ne me disait pas « bonne nuit », je ne trouvais pas le sommeil, que j’angoissais quand il ne me répondait pas. Quand je recevais un message de sa part un grand sourire s’affichait sur mon visage. J’avais retrouvé ma bonne humeur, j’avais hâte de le voir chaque jour. J’avais bonne mine et tout le monde me le faisait remarquer, j’avais sans cesse le sourire et je faisais tout pour corriger mes défauts. Une semaine après le commencement des grandes vacances, nous avons décidé de se retrouver et de passer un après midi ensemble. C’était un jeudi, nous nous étions donnés rendez vous sur la plage. J’étais à côté de lui et nous marchions pieds nus dans le sable. Nous nous étions assis sur le sol, et nous regardions les vagues de la mer se briser sur les rochers qui se trouvaient à notre gauche. Nous étions l’un à côté de l’autre seul au monde, nous n’avions pas de contact physique par pudeur peut être comme si il y avait une barrière invisible entre lui et moi. Un mur que je n’osais pas franchir par peur de le gêner. Au début, je le regardais timidement, je n’osais plonger mon regard dans ses grands yeux noirs. Il avait un regard tellement doux et bienveillant que j’avais peur de perdre pied en le regardant trop. J’avais l’impression qu’il pouvait lire à travers moi comme dans un livre ouvert, ce qui est une sensation assez étrange mais tellement agréable. Pour la première fois de ma vie je me sentais comprise. A ses côtés tout me paraissait beau et simple, j’étais ivre de bonheur. Je buvais ses paroles sans qu’il ne s’en rende compte. Je n’étais plus moi-même, j’avais laissé de côté mes petits soucis et je savourais chaque seconde que je passais avec lui. Je ne pensais plus à rien, à personne, je le regardais et l’écoutais parler comme si nous étions les deux seuls personnes sur la Terre. Pour immortaliser ce magnifique après midi nous avions pris une photo de lui et moi, et dessus j’ai le sourire d’une jeune femme heureuse. J’avais l’impression que tout était à sa place dans le meilleur des mondes, le paysage me semblait paradisiaque, à ses côtés je trouvais que chaque détail était sublime. Le temps est passé tellement vite à travers ses regards, son rire, son sourire et nos rigolades. J’étais dans le bonheur à l’état brut. Le soir est venu à grand pas, malheureusement nous ne pouvons pas arrêter le temps, il m’a ramenée à la gare et nous nous étions dit au revoir. Un au revoir simple comme si nous allions nous retrouver le lendemain. Je l’ai regardé partir et je suis tombée de mon nuage. La chute a été courte mais très douloureuse. La réalité est revenue d’un seul coup et ne m’a pas fait de cadeau. J’ai très vite remarqué que j’étais une droguée, j’avais besoin de le voir pour me sentir bien. Il était mon rail de coke quand il n’était pas à mes côtés j’étais en manque. Je suis rentrée chez moi, je me suis jetée sur mon lit et j’ai essayé de retourner sur la plage, dans ce petit coin de paradis mais ce n’était pas possible malheureusement. J’avais passé une nuit blanche, j’admirais cette photo prise pendant cet instant magique, je l’ai regardé ce cliché encore et encore, je m’en suis explosé les yeux à force de le contempler. Cette photo je la connaissais par cœur, je me souvenais de chaque détail. La vie est venue me rappeler que son cœur était déjà promis pour une autre demoiselle. Cela faisait déjà quelques mois qu’il partageait son bonheur avec elle. Quand ce garçon me parlait d’elle, il y avait une étincelle dans son regard. Une flamme que juste un jeune amant fou amoureux a dans les yeux pendant la passion des premiers mois. Il prononçait son prénom et une fougue s’emparait de son âme, il n’était plus lui-même, il était heureux. Il voyait que cela me faisait souffrir quand il me parlait d’elle donc au fil du temps c’était devenu un sujet tabou entre lui et moi. Ce dernier savait que s’il avait besoin de se confier j’étais là pour l’écouter mais il voyait que cela m’attristait quand il me faisait des éloges sur sa bien aimée. Ce jeune homme était heureux avec sa belle. Je pense que c’est cela qui fait le plus mal, espérer pour rien, mais j’avais déjà son amitié ce qui était déjà beaucoup. Je profitais de chaque moment passé avec lui, car en sa présence j’étais radieuse et nous avions les mêmes sujets de plaisanteries. J’avais les larmes aux yeux tous les jours en pensant que lui avait repris son quotidien sans accorder une pensée à mon égard.

     

     Le lendemain je suis retournée à la plage, au même endroit. Certains penseront que c’est par désespoir, moi je dirais que c’était plutôt de la nostalgie. Mon présent n’était pas à la hauteur de mon passé. Ce moment de bien être intense je voulais le revivre, pas quelques heures comme la veille, mais tout le temps. Tous les jours, chaque matin, chaque soir, je voulais être ivre de bonheur à ses côtés. Mais je ne pouvais pas échapper à la réalité, ce que j’étais en train de faire était de l’auto torture, un cercle vicieux dans lequel je me plaisais. Tous les jours je retournais à cette rive. À force de rester allongée au même endroit de la première lueur de l’aube à la tombée de la nuit, le sable avait épousé les courbes de mon corps et de mes souvenirs. Je venais me réfugier dans ce lieu à chaque fois que nous nous disputions ou quand il devenait trop distant. Mais à chaque fois mon retour à la réalité me faisait de plus en plus souffrir. Le goût amer de mes larmes revenait et je broyais du noir. J’avais l’impression qu’on m’avait arraché le cœur, je ne ressentais plus aucune émotion, je n’arrivais plus à aimer ma famille et mes amis. Les seules heures que j’arrivais à voler à Morphée me ramenaient à un endroit où j’étais à ses côtés, mais le réveil était douloureux car ce n’était que des rêves. Je ressassais les souvenirs et lui était de plus en plus lointain, à mon plus grand désespoir. J’avais de plus en plus peur de le perdre, mais je me faisais une raison. Je me disais que s’il faisait ça c’était pour que j’arrête de l’aimer. Du moins, je me disais cela car je ne voulais pas gêner son train train habituel, donc pour ma part je ne cherchais pas de sujet de conversation quand il me parlait. Je ne répondais plus directement comme avant, je mettais du temps à lui envoyer un message et je lui parlais froidement. Peu m’importait s’il me répondait. Cela me faisait du mal mais je pensais que c’était mieux comme ça, pour lui comme pour moi. Il m’avait promis de me protéger et de ne pas me laisser, je savais que c’était quelqu’un de parole mais je m’inquiétais. Je le détestais et lui en voulais car il n’y avait que lui qui faisait afficher un sourire sincère sur mon visage. J’avais vraiment peur qu’il m’oublie et nous ne nous parlions presque plus mais nous étions tous les deux fautifs. Je ne pouvais pas en avoir contre lui longtemps car j’avais amplement conscience que pour lui ce n’était vraiment pas facile et que je ne facilitais pas les choses.

     

    Un matin après une énième nuit blanche à me remémorer nos souvenirs, j’ai décidée de ne plus mettre d’ombre dans son quotidien. Je voulais qu’il reprenne le court de sa vie et qu’il soit heureux, c’est tout ce que je lui souhaitais. Il n’aimait pas quand j’allais mal donc je lui mentais en disant que tout allait bien pour ne pas qu’il s’inquiète pour moi. Je ne voulais pas qu’il sache que c’était pour lui que j’étais dans cet état de dépression. Il devenait de plus en plus distant et moi de mon côté j’étais lasse d’attendre et de souffrir. Il me rassurait comme il pouvait, mais je ne voulais plus être un poids pour lui. Je faisais une descente aux enfers, sans lui à mes côtés ma vie n’avait plus qu’un goût amer et fade, plus rien ne m’amusait. Je ne souriais plus, ne parlais plus et ne dormais plus. Je me levais sans avoir de but à part de retourner à la plage. Plus les jours passaient plus la faucheuse m’invitait à danser une valse macabre avec elle. J’entamais ce jeu de séduction avec la mort au plus grand désespoir de ma famille, mais mon bien aimé n’en avait pas conscience. Mon teint était de plus en plus pâle, mes yeux étaient de plus en plus cernés de violet, mes lèvres étaient bleues, ma peau devenait de plus en plus glacée. Mes mains qu’il aimait réchauffer en les mettant dans les siennes étaient aussi chaude que la glace du pôle nord. J’étais de plus en plus maigre car je n’avais plus le goût des aliments. Je plaisais à la faucheuse qui m’enlaçait et ensuite me laissait avec le même refrain en tête le prénom de la personne qui était la source de mon plus grand bonheur mais aussi celle de ma plus grande désolation. Ce garçon m’avait fait promettre de prendre soin de moi et de ma « petite santé fragile » comme il disait, mais cette promesse je ne pouvais pas la tenir. Au fil des jours j’avais remarqué que ma meilleure amie était cette lame de rasoir qui au contact de ma peau me faisait savoir que j’étais encore en vie. Je voyais le sang couler et je me sentais vivante, je ne pensais plus à lui pendant quelques secondes. Pendant que je m’auto mutilais je n’avais plus de souffrance mentale mais qu’une simple douleur physique qui n’était rien à côté de ce que j’endurais intérieurement. Mes bras n’avaient pas le temps de cicatriser car le lendemain je me refaisais les mêmes marques aux mêmes endroits. J’avais pris trop de goût à mon jeu avec ce qui fait le plus peur aux êtres humains, la mort. Je m’étais attachée à elle mais je ne pouvais pas laisser le garçon que j’aimais. J’essayais de me battre pour aimer la vie, mais sans lui, le combat ne méritait pas d’avoir lieu. J’avais besoin de le voir, de lui parler, de connaître à nouveau cette sensation d’ivresse de bonheur, mais je n’avais pas eu le courage de l’appeler et de le lui dire. Puis à quoi bon le revoir pour souffrir encore plus ensuite ? Cet amour me détruisait psychologiquement et physiquement j’étais repoussante, je ressemblais à un mort vivant. Je ne voyais plus personne, je ne voulais plus vivre. Je contemplais le spectacle de son bonheur avec son âme sœur. Je me montrais de plus en plus froide car je ne voulais pas qu’il s’inquiète pour moi, j’avais dans l’idée de ne plus faire une tâche d’ombre dans sa vie. Je lui avais fait comprendre qu’il ne devait plus s’en faire pour moi. Je voulais me détruire et partir de sa vie en toute tranquillité. Je ne désirais pas qu’il ressente de la tristesse ou de la compassion à mon égard je souhaitais qu’il soit heureux tout simplement. Je le regardais s’avancer dans la vie en me laissant sans protection dans ce malheureux présent.

     

    Quelques jours plus tard je suis retournée à la plage en savant pertinemment que je ne rentrerais pas le soir. J’avais pris ma décision, il ne m’avait pas donné de nouvelles et m’avait sans doute déjà oubliée. Je lui ai envoyé un message en lui souhaitant tout le bonheur du monde, et j’ai regardé la photo encore et encore. En ce moment, je suis avec mon verre de vodka et je pleure en me rappelant cette histoire. En une seconde tout peut basculer, je suis passée du bonheur à l’état pur….à un verre de vodka en train d’attendre mon heure. Je m’étais toujours promis de faire ma vie, avoir un mari, des enfants, avoir une bonne situation et mourir dans mon sommeil pour ne pas souffrir. Le bilan de ma vie ? J’ai 17 ans, des bras qui ressemblent à une jupe hawaïenne tellement ma peau est coupée. Je suis intérieurement détruite et extérieurement on a l’impression que j’ai vécu des siècles et des siècles, que j’ai fait toutes les guerres, que j’ai enduré toutes les souffrances et épreuve de la vie. Je vais mourir par amour, quelle belle mort non ? Je vais mourir dans le même endroit où quelques temps auparavant j’étais ivre de bonheur. Je contemple la mer et regarde les vagues se briser sur les rochers qui se trouvent à ma gauche. Ces rochers ne sont plus aussi beaux que la première fois. Leurs parois ne sont plus lisses mais plutôt rugueuses, leurs formes n’épousent plus aussi bien ce paysage que je trouvais parfait avant, au contraire ces rochers sont de trop. Ce paysage que je trouvais paradisiaque à ses côtés à présent je le trouve macabre, infertile, pluvieux, sans une once de bonheur à l’état brut. Le temps a fait disparaître nos éclats de rire comme s’ils n’avaient jamais existé. Je repense à son regard, son sourire et sa voix. Je repense à lui tout simplement. Je le revois marcher pieds nus dans le sable avec son tee shirt rayé et son pantalon bleu. Je m’allonge sur le sable et j’attends que la nostalgie vienne m’ensevelir dans cet endroit qui avait fait mon ravissement. Ce n’est pas une fin tragique comme dans Roméo et Juliette, non je meurs ici alors que mon Roméo va continuer sa vie, sans s’apercevoir que je suis partie vers les étoiles pour mieux le protéger.

     


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  • C'est l'histoire d'une fille,

    Qui était issue d'une très grande famille.

    La vie lui avait fait beaucoup de coup bas

    Et de ce quotidien elle en était las.

    Alors tout les soirs la peau elle se coupa,

    Elle ne se sentait libre que quand le sang coula.

    Elle voulait que sa tristesse parte avec tout ce sang,

    Mais rien n'y fais, alors elle se coupa plus profondément.

    Toute la journée sa famille lui disait "tu es inhumaine"

    Et cette fille ne disait rien de sa haine.

    La mutilation était devenue sa passion.

    Mais elle a découvert qu'il y avait une autre façon

    De parler de ce qui l'a torture.

    Eh oui ! Cette passion c'était l'écriture !

    Elle s'enfermait pendant des heures,

    Pour mettre sur papier sa rancœur.

    Elle a perdue ses seuls amis,

    Effectivement l'écriture dictait sa vie.

    C'était devenu addictif !

    C'était devenu maladif !

    Alors elle décida d'arrêter d'écrire,

    De regarder sa plume pourrir.

    Elle se laissa périr,

    Seule au milieu de tout ses rires.


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    Ce texte ci-dessous est destiné à une personne qui me tiens énormément à cœur, une personne qui me rend meilleure. Cette personne c’est toi….mon valou.

     

    Je t’ai donné énormément de surnom : Valou, Valoche, Kinder Pingoui, Monsieur Propre, Petit frère, et plein d’autres que j’ai oublié….U_U

     

    Cela fait moins d’un an que nous nous connaissons, mais tu as déjà une place très importante dans mon cœur. Tu es passé d’inconnu à un petit frère de cœur. Bon nous n’avons pas de lien du sang c’est vrai, mais j’essaye de te protéger comme une grande sœur.

    Avant tout, je voulais te remercier…pour tout…  Merci de me faire sourire quand je ne suis pas bien, merci d’être là pour me tenir compagnie quand je suis seule, merci de me conseiller, de me parler et de comprendre mes silences.  Surtout, merci de me supporter chaque jour et de ne pas juger mes pétâges de câbles.  

    Val, je m’excuse, pour tout. Vraiment. Désolée d’être souvent chiante, de te demander des choses alors que tu ne veux pas en parler. Je suis désolée de t’avoir blessé ou autre si c’est le cas. Mais tu vois, j’ai peur pour toi parce que je t’aime tellement.  Tu me connais énormément, quand je t’envoie un message tu sais directement comment je vais.

    Tu es une personne vraiment….d’extraordinaire. Tu as des défauts hein mais tu as aussi énormément de qualité. Contrairement à beaucoup de personne tu n’aimes pas l’injustice et tu as beaucoup d’humanité. Tu as des dons du cœur qui sont rare, alors ne change pas. Reste le petit Valou innocent, mais qui a déjà énormément de maturité. Des fois j’oublie que tu as 16 ans u.u Mais attends ça veut dire que je me fais disputer par un gamin de 16 ans é_è 

    Plus sérieusement Val, tu es l’ami dont tout le monde rêve d’avoir. Bon ok tu as parfois des délires….bizarre……même très bizarre xD. Mais tu as une gentillesse et une manière d’écouter les gens exceptionnel. Tu es toujours là pour tout le monde et je trouve cela juste….génial. Ouais, tu es génial. Alors ceux qui disent du mal de toi sérieux oublie les. Ils ne savent pas à côté de quoi ils passent.  C’est des rageux.

    Tu es une personne en or, bon ok tu as un caractère parfois de merde, mais je t’aime aussi pour ça. Pour faire naître un sourire sur ton visage je ferai vraiment n’importe quoi…. <3

    Je t’admire tellement, ce ne sont pas des mots en l’air, je t’admire par ta capacité de recevoir des coups et de rester là pour les autres. En tout cas, mon valoulinanounette, je suis là pour toi quoiqu’il arrive, une oreille qui peut t’écouter et te soutenir. Je serai toujours là pour toi <3 

    Nous avons des délires chelou mais cela nous lient. Ecoute mon Valou, quoiqu’il se passe, jamais je ne t’oublierai je te le promets. Tu seras toujours dans mon cœur, et même quand j’aurai 95 ans je me souviendrai encore de toi. 

    On dit que souvent on ne voit pas les gens qui nous rendent meilleures….ils ont tort. Parce que moi je vois ce que tu fais de moi. Grâce à toi, je fais lire mes textes à d’autres personne, je fais le compte de Cléophée, j’ai fait ce blog, j’ai appris énormément de choses grâce à toi sur la vie comme sur moi. Je ne te remercierai jamais assez pour tout ce que tu fais pour moi. Si je commence à citer ce que tu as changés chez moi j’en ai pour 15 pages xD Je deviens quelqu’un de bien grâce à une personne géniale.

    Tu es un pilier pour moi <3 Je t’aime énormément petit frère <3

     

    N’oublie pas, jamais je ne te laisserai tombé <3

     


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  • Un jour, tu arrives sur un ring. Il y a toi et ton adversaire c’est la vie. Le jour de ta naissance le match commence. Pendant toute ton existence, la vie va te donner des coups, ces derniers seront des déceptions, des trahisons, des pertes, des tristesses, du découragement. Il y aura des coups durs, d’autre un peu moins, mais cela te mettra par terre face contre sol. Tu voudras juste rester à terre pendant un moment, en pensant que jamais tu vas t’en remettre. Mais quand tu seras face contre sol, ton mot d’ordre c’est se relever, en donnant à la vie des coups de poing. Tu pourras la frapper avec tes rires, tes sourires, tes rêves, tes espoirs. Les coups que tu auras déjà reçus vont te laisser des blessures qui te feront toujours un peu mal, des moments tu auras mal à t’en mettre à genoux ou te remettre par terre. Tu verras pendant le dernier round, la vie va appeler son meilleur ami, la mort. C’est cette personne qui va te donner le coup fatal, tu ne pourras plus rien faire face à ce coup. Mais en attendant que la vie appelle son copain, essaye de lui donner le plus possible de coup ! Vis, amuse toi, rigole, chante, danse, sors en boîte. Profite un maximum, comme ça quand tu verras la mort arriver tu ne te diras pas « si j’avais pu » mais « j’ai profité un maximum, je suis parfois resté à terre mais aujourd’hui je suis là et j’ai accompli tous mes rêves ».  Toi, tu auras un allié qui sera toujours là quoiqu’il arrive mais il se manifestera sous différentes manières. Ton allié le plus fort et le plus durable sera l’amour, il sera représenté  à travers ta famille, tes amis, ton partenaire. C’est quelque chose qui va te donner de la force tout au long de ton existence. Avec le temps tu auras aussi les souvenirs qui t’aideront à te relever. Alors profite de chaque instant afin de les rendre inoubliable, et n’oublie jamais que c’est un match qui vaut le coup alors rend ce combat le plus beau possible.


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    Aujourd’hui, comme tous les matins,

    Je fais face à mon avenir incertain.

    Des opportunités s’offrent à moi,

    Mais je ne peux pas faire mon choix.

    « Prend le chemin de la fierté,

    Si tu ne le prends pas tu seras une ratée.

    Prend le chemin de la fortune,

    D’un palace tu pourras contempler la lune.

    Ne prend pas le chemin de la défaite,

    Sinon tout le monde va te faire ta fête.

    Ne t’égare pas trop dans le chemin de l’amour,

    Tu vas voir ce sentiment te fera prendre pleins de détours.

    Tu seras heureuse pendant un moment,

    Mais tu verras que ce sentiment ne dure qu’un temps.

    Tu connaitras aussi la déprime,

    C’est souvent avec ça que l’amour rime.

    De toute façon quoique tu fasses tu vas souffrir,

    Alors vers le futur arrête de courir ».

    Face à tout ça j’ai juste envie de dire

    Que je connais déjà une partie de mon avenir.

    Je vais prendre le sentier du bonheur,

    Essayer de ne pas prendre le chemin de la tristesse pendant des heures.

    Accomplir mes rêves grâce à mes ambitions,

    Toutes mes passions vont me donner la motivation,

    De rendre ma vie la plus formidable qu’il soit,

    Et quand sonnera mon heure me dire « c’est bien tu n’as aucun regrets derrière toi ».

     


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