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    Ce texte ci-dessous est destiné à une personne qui me tiens énormément à cœur, une personne qui me rend meilleure. Cette personne c’est toi….mon valou.

     

    Je t’ai donné énormément de surnom : Valou, Valoche, Kinder Pingoui, Monsieur Propre, Petit frère, et plein d’autres que j’ai oublié….U_U

     

    Cela fait moins d’un an que nous nous connaissons, mais tu as déjà une place très importante dans mon cœur. Tu es passé d’inconnu à un petit frère de cœur. Bon nous n’avons pas de lien du sang c’est vrai, mais j’essaye de te protéger comme une grande sœur.

    Avant tout, je voulais te remercier…pour tout…  Merci de me faire sourire quand je ne suis pas bien, merci d’être là pour me tenir compagnie quand je suis seule, merci de me conseiller, de me parler et de comprendre mes silences.  Surtout, merci de me supporter chaque jour et de ne pas juger mes pétâges de câbles.  

    Val, je m’excuse, pour tout. Vraiment. Désolée d’être souvent chiante, de te demander des choses alors que tu ne veux pas en parler. Je suis désolée de t’avoir blessé ou autre si c’est le cas. Mais tu vois, j’ai peur pour toi parce que je t’aime tellement.  Tu me connais énormément, quand je t’envoie un message tu sais directement comment je vais.

    Tu es une personne vraiment….d’extraordinaire. Tu as des défauts hein mais tu as aussi énormément de qualité. Contrairement à beaucoup de personne tu n’aimes pas l’injustice et tu as beaucoup d’humanité. Tu as des dons du cœur qui sont rare, alors ne change pas. Reste le petit Valou innocent, mais qui a déjà énormément de maturité. Des fois j’oublie que tu as 16 ans u.u Mais attends ça veut dire que je me fais disputer par un gamin de 16 ans é_è 

    Plus sérieusement Val, tu es l’ami dont tout le monde rêve d’avoir. Bon ok tu as parfois des délires….bizarre……même très bizarre xD. Mais tu as une gentillesse et une manière d’écouter les gens exceptionnel. Tu es toujours là pour tout le monde et je trouve cela juste….génial. Ouais, tu es génial. Alors ceux qui disent du mal de toi sérieux oublie les. Ils ne savent pas à côté de quoi ils passent.  C’est des rageux.

    Tu es une personne en or, bon ok tu as un caractère parfois de merde, mais je t’aime aussi pour ça. Pour faire naître un sourire sur ton visage je ferai vraiment n’importe quoi…. <3

    Je t’admire tellement, ce ne sont pas des mots en l’air, je t’admire par ta capacité de recevoir des coups et de rester là pour les autres. En tout cas, mon valoulinanounette, je suis là pour toi quoiqu’il arrive, une oreille qui peut t’écouter et te soutenir. Je serai toujours là pour toi <3 

    Nous avons des délires chelou mais cela nous lient. Ecoute mon Valou, quoiqu’il se passe, jamais je ne t’oublierai je te le promets. Tu seras toujours dans mon cœur, et même quand j’aurai 95 ans je me souviendrai encore de toi. 

    On dit que souvent on ne voit pas les gens qui nous rendent meilleures….ils ont tort. Parce que moi je vois ce que tu fais de moi. Grâce à toi, je fais lire mes textes à d’autres personne, je fais le compte de Cléophée, j’ai fait ce blog, j’ai appris énormément de choses grâce à toi sur la vie comme sur moi. Je ne te remercierai jamais assez pour tout ce que tu fais pour moi. Si je commence à citer ce que tu as changés chez moi j’en ai pour 15 pages xD Je deviens quelqu’un de bien grâce à une personne géniale.

    Tu es un pilier pour moi <3 Je t’aime énormément petit frère <3

     

    N’oublie pas, jamais je ne te laisserai tombé <3

     


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  • Un jour, tu arrives sur un ring. Il y a toi et ton adversaire c’est la vie. Le jour de ta naissance le match commence. Pendant toute ton existence, la vie va te donner des coups, ces derniers seront des déceptions, des trahisons, des pertes, des tristesses, du découragement. Il y aura des coups durs, d’autre un peu moins, mais cela te mettra par terre face contre sol. Tu voudras juste rester à terre pendant un moment, en pensant que jamais tu vas t’en remettre. Mais quand tu seras face contre sol, ton mot d’ordre c’est se relever, en donnant à la vie des coups de poing. Tu pourras la frapper avec tes rires, tes sourires, tes rêves, tes espoirs. Les coups que tu auras déjà reçus vont te laisser des blessures qui te feront toujours un peu mal, des moments tu auras mal à t’en mettre à genoux ou te remettre par terre. Tu verras pendant le dernier round, la vie va appeler son meilleur ami, la mort. C’est cette personne qui va te donner le coup fatal, tu ne pourras plus rien faire face à ce coup. Mais en attendant que la vie appelle son copain, essaye de lui donner le plus possible de coup ! Vis, amuse toi, rigole, chante, danse, sors en boîte. Profite un maximum, comme ça quand tu verras la mort arriver tu ne te diras pas « si j’avais pu » mais « j’ai profité un maximum, je suis parfois resté à terre mais aujourd’hui je suis là et j’ai accompli tous mes rêves ».  Toi, tu auras un allié qui sera toujours là quoiqu’il arrive mais il se manifestera sous différentes manières. Ton allié le plus fort et le plus durable sera l’amour, il sera représenté  à travers ta famille, tes amis, ton partenaire. C’est quelque chose qui va te donner de la force tout au long de ton existence. Avec le temps tu auras aussi les souvenirs qui t’aideront à te relever. Alors profite de chaque instant afin de les rendre inoubliable, et n’oublie jamais que c’est un match qui vaut le coup alors rend ce combat le plus beau possible.


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    Le lendemain matin, Cléophée attendit Anita avec beaucoup d’impatience. Une question l’a tourmentée pendant quelques jours. Une question anodine, mais elle avait besoin de savoir la réponse. Elle regarda l’heure sur son portable 9h59, Anita allait bientôt arriver. Elle regarda par la fenêtre en attendant. Elle pensa à sa famille et encore pendant combien de temps elle allait les voir. On frappa la porte, c’était Anita, Cléophée lui fit son plus beau sourire :

     - Ah enfin te voilà, dit Cléophée.

    - Oui me voilà, tu as un truc à me dire ?

    - Oui, j’ai une question.

    - Je t’écoute.

    - Pourquoi tu me traites comme ça ? Fin je ne sais pas tu me traites comme une princesse, et tu ne me vois pas comme une malade.

    - Tu sais ma puce, pour moi toutes les filles sont des princesses et tous les garçons sont des princes. Que tu sois grosse, maigre, malade, jaune, bleu, mauve, chauve ou pas je m’en fiche. Je ne m’arrête pas à ça. Le plus important c’est la richesse du cœur, alors oui tu es princesse comme toute les autres petites filles. Pas besoin de conte de fée, chacun d’entre nous avons de grande qualité. Nous avons aussi des défauts mais faut essayer de les changer  pour que nous devenions une personne meilleure. Pour moi tu n’es pas une « cancéreuse qui va bientôt mourir », mais tu es Cléophée, une petite fille qui a encore beaucoup de chose à découvrir de la vie.

    - Anita ?

    - Oui ?

    - Merci, pour tout.

     

    Cléophée lui fit un bisou, Anita repartit à ses occupations. Cléophée regarda par la fenêtre pour faire passer le temps, elle stressait. Aujourd’hui elle allait enfin savoir si elle pouvait rentrer le week end d’après, elle aimerait tellement revoir ses parents et Vidocq. Elle regarda son portable et vit qu’elle avait un message, c’était Yann « Salut, tu veux que je passe cette aprèm ? ». Elle ne répondit pas, elle attendait juste le verdict des médecins avec impatience, le reste lui importait peu. Elle était dans un état de stress palpable, même la musique ne la calmait pas. Au bout d’une heure le médecin vint enfin dans sa chambre.

     - Bonjour Cléophée, commença-t-il.

    - Bonjour.

    - Ça va ?

    - Oui.

    - Je viens te voir pour t’annoncer euh…comment dire..

    - Une mauvaise nouvelle ? Vous en faites pas j’ai l’habitude.

    - Tu ne vas pas revoir tes parents tout de suite, je suis désolé. Je préfère que tu restes là c’est pour ton bien.

    - Oui c’est vrai j’avais oublié que voir d’autre enfant malade et de vomir tout le temps c’est pour mon bien.

    - Cléophée…

    - Partez. Je veux être seule.

     

    Le médecin partit laissant Cléophée seule. Elle commença à pleurer toute les larmes de son corps elle en avait ras le bol de cette chambre d’hôpital qui puait la tristesse des autres enfants qui sont dans le même service qu’elle. Elle les aimait bien mais ce n’est pas toujours facile de voir des visages sans émotions toute la journée malgré les animations qu’il y a. Elle mit son casque au volume le plus fort, quand elle mettait la musique aussi forte c’était pour ne plus entendre ses pensées remplies de désespoirs. Elle envoya un message à Yann « Bonjour, non ne vient pas aujourd’hui s’il te plaît, je suis occupée. A plus tard ». Elle posa son portable, et ferma les yeux pour aller dans un monde imaginaire dans lequel elle était avec sa famille. Elle entendit frapper à la porte, c’était Yann « Je n’arriverai pas à rester tranquille sans qu’il vienne lui » pensa-t-elle.

     - Salut, lança-t-il.

    - Je t’ai dit que j’étais occupée alors pars.

    - Non, je sais que tu me mens. Qu’est-ce qu’il y a ?

    -Pars. Je ne veux pas te voir. Tu n’as rien à faire ici.

    - Ok, j’en ai trop entendu. Bye.

    - Bye.

     

    Puis il partit sans se retourner. Elle ravala ses larmes « il m’oubliera » se disait-elle jusqu’à la nuit tombé. Elle regarda son portable, elle n’avait pas de message, ni de Yann, ni de ses parents. Elle décida de rassembler ses forces pour aller jusqu’à sa fenêtre, l’ouvrit et contempla les étoiles pendant longtemps avant d’aller rejoindre Morphée.

     


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    Aujourd’hui, comme tous les matins,

    Je fais face à mon avenir incertain.

    Des opportunités s’offrent à moi,

    Mais je ne peux pas faire mon choix.

    « Prend le chemin de la fierté,

    Si tu ne le prends pas tu seras une ratée.

    Prend le chemin de la fortune,

    D’un palace tu pourras contempler la lune.

    Ne prend pas le chemin de la défaite,

    Sinon tout le monde va te faire ta fête.

    Ne t’égare pas trop dans le chemin de l’amour,

    Tu vas voir ce sentiment te fera prendre pleins de détours.

    Tu seras heureuse pendant un moment,

    Mais tu verras que ce sentiment ne dure qu’un temps.

    Tu connaitras aussi la déprime,

    C’est souvent avec ça que l’amour rime.

    De toute façon quoique tu fasses tu vas souffrir,

    Alors vers le futur arrête de courir ».

    Face à tout ça j’ai juste envie de dire

    Que je connais déjà une partie de mon avenir.

    Je vais prendre le sentier du bonheur,

    Essayer de ne pas prendre le chemin de la tristesse pendant des heures.

    Accomplir mes rêves grâce à mes ambitions,

    Toutes mes passions vont me donner la motivation,

    De rendre ma vie la plus formidable qu’il soit,

    Et quand sonnera mon heure me dire « c’est bien tu n’as aucun regrets derrière toi ».

     


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  •  - Tu sais je m’excuse…

    - Attend je vais te dire un truc, je m’en tape de tes excuses.

    - J’ai changé.

    - Ah bon ? Tu es passé de bâtard à connard ? Attends ferme la et écoute moi. Avec toi c’est vrai c’était beau j’avais l’impression de voler, mais je me suis vite brûler les ailes. Tu m’as tellement fait souffrir je ne vois même pas comment tu as encore le courage de me parler. J’ai juste envie de te cracher dessus tellement que je te déteste, mais je ne le fais pas parce que contrairement à toi, j’ai encore un minimum de respect envers toi. Quoi tu te demandes ce que tu m’as fait ? Tu m’as trompée et humiliée, même pire que ça tu m’as séduite juste pour flatter ton putain d’égo.  Ton égo de merde ! Bah ouais, c’est drôle de séduire une fille qui était au fond du trou, mais c’est vrai tu as eu la grande gentillesse de me montrer que je n’étais pas tombé assez bas. Toute les fois où tu t’en battais les steaks de ce que je te disais. Je t’avais ouvert mon cœur et tu m’as poignardée. Non je n’exagère pas ! Dis-moi, c’était comment de coucher avec elle alors qu’on était un couple ? Enfin je croyais. Ah oui, en passant, va voir la définition de fidélité dans le dictionnaire. Tu ne m’as pas été fidèle, j’ai été cocu avec toi. Crois-moi que ça tue, le nombre de fois où je me suis demander ce qu’elle avait de plus que moi je ne les compte plus. Puis ça fait mal, quand tu me disais « je t’aime » je me demandais si tu essayais vraiment de me récupérer ou si tu faisais un message groupé. Oui, je suis allé voir tes messages Facebook, bah putain tout ce que j’y ai vu ça fait mal. Des  photos de fille nue, des messages où tu draguais mes amies. Au faite tu te rappelles pourquoi tu m’avais fait cocu ? Parce que je ne voulais pas coucher le premier soir. Comme quoi tu es vraiment un beau salaud. J’ai perdu beaucoup de temps avec toi c’est vrai mais tu vois je me dis que je ne pourrai pas trouver pire, et encore là je ne t’ai pas tout cité de ce que tu m’as fait sinon j’en aurai pour des heures. T’inquiètes pas je vais me souvenir de toi, quand ma fille me demandera ce qu’est un salaud et un connard (encore je pèse mes mots) je dirai ton prénom.  Je t’ai aimé c’est vrai mais sache que là j’en m’en tape de toi. J’ai juste envie de te frapper et te cracher dessus tellement que tu me dégoûtes. Arrête de faire le beau parleur cela ne te vas pas, si tu continues tu vas te retrouver seul. Mais si tu te retrouves seul je te rigolerai au nez en te disant que tu n’as que ce que tu mérites. Mais tes excuses gardent les. Aujourd’hui je suis heureuse, j’ai trouvé quelqu’un que j’aime énormément. Tu n’as plus rien à faire dans ma vie. Je ne suis pas une connasse donc je te souhaite une bonne continuation. Adieu.

    #J

     


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